La protection de Dieu

C’est toi mon Dieu protecteur. Pourquoi dois-je marcher dans la tristesse ?
Psaume 43.2

Par deux fois, j’ai évité d’un cheveu une collision frontale sur la route. La chance ? Moi, je vois le secours d’un Dieu aimant. Récemment, j’ai fait mon premier accident. Voiture bonne pour la casse… Dieu dormait-il ce jour-là ? Oh que non, c’est moi qui avais manqué de vigilance ! Et, très vite, j’ai pu compter les bienfaits de Dieu :
« Mais… mais je suis vivant ! Pas une égratignure ! » Et pas de victime collatérale ! Le camion qui m’avait happé – par ma faute – était loin… Je réalise que si ce poids lourd avait été une simple voiture, les deux véhicules se seraient mutuellement écrabouillés, et vous imaginez les conséquences.
Deux réalités me sont apparues :
– Oh oui, Dieu m’a bien protégé, sinon je ne serais pas là en train d’en témoigner, c’est évident !
– Mais Dieu n’a pas empêché toutes les conséquences de ma faute, car il ne voulait pas que je me transforme petit à petit en danger public. Ce n’était pas ma première négligence, et il fallait absolument que je prenne des mesures radicales pour me corriger !
Remercions Dieu pour tous ces innombrables secours divins que nous avons tous vécus jusqu’à ce jour. Mais exerçons-nous aussi à discerner cette main aimante de Dieu, même dans les coups durs qu’il n’a apparemment pas empêchés.1

Claude Schneider

1 D’après « La foi, mirage ou source de vie ? » p. 114 du même auteur

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Lecture proposée : Lamentations de Jérémie, chapitre 3, versets 19 à 26.

 

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