Honneur aux bœufs

S’il n’y a pas de bœufs, la crèche est vide ; c’est à la vigueur des bœufs qu’on doit l’abondance des revenus.
Proverbes 14.4

Il est de l’habitude des hommes de s’attribuer à eux seuls la réussite de leur entreprise. Mais le paysan du passé le savait : s’il n’avait ses bêtes qui travaillaient pour lui, il n’aurait rien. Aujourd’hui, les engins agricoles ont pris la place du bœuf.
Que l’homme, du haut de sa vantardise, ne s’illusionne pas : la machine ne peut tout remplacer. L’être humain ne peut aucunement se passer, pour sa propre survie, du reste de la création. Qu’il détruise l’une après l’autre les espèces que Dieu a créées, et il signe lui-même son arrêt de mort.
Apprenons à estimer tout ce que Dieu nous donne ! Et sachons aussi rendre aux bœufs ce que nous leur devons !

Gilles Georgel

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Lecture proposée : Psaume 104, versets 19 à 24.

 

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