Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle : Jean 3.16
Dieu a fait sa part en réglant le problème du péché par le sacrifice de Jésus. Grâce à sa mort à la croix et sa résurrection, ce péché qui nous tient prisonniers n’est plus une fatalité. Nous pouvons devenir des êtres libres.
Il nous reste à faire notre part. Dieu nous a créés libres de le rejeter ou de l’aimer. Nous vivons dans un monde où notre capacité de décision est réduite à peu de choses ; là nous sommes invités à prendre une décision qui engage notre vie présente, mais aussi notre éternité. Dans l’éternité il n’y a que deux destinations possibles. Soit auprès de Dieu : c’est la vie éternelle, et toutes les souffrances endurées sur cette Terre auront disparu. Soit définitivement séparé de Dieu dans une souffrance sans fin. La Bible dit de ceux qui ont rejeté Dieu1 : La fumée de leur tourment s’élèvera à perpétuité. Nous appelons cela l’enfer.
Dieu multiplie les avertissements, par amour pour nous, car il veut nous éviter cette souffrance indescriptible. Mais un jour le destin de chacun de nous sera définitivement scellé. Il faut donc choisir maintenant : je ne peux plus rien changer au passé ; je ne suis pas maître du futur, Dieu peut me retirer le souffle de vie. Je suis seulement maître de l’instant présent, tant que Dieu me prête vie. C’est seulement dans ce présent que je peux prendre la décision d’accepter Jésus dans ma vie, et recevoir de lui mon salut éternel.
Francis Praline
1 Apocalypse 14.11
Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 3, versets 14 à 21