Pour vous qui craignez mon nom se lèvera le soleil de la justice, et la guérison sera sous ses ailes : Malachie 4.2
D’un film-catastrophe, je relève ce dialogue :
– Ce qui me fait réellement peur, c’est prétendre que tout peut se justifier.
– Certaines choses n’ont pas besoin de l’être.
À quoi on peut opposer ces paroles de la Bible : Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres1… et Vous verrez de nouveau la différence entre le juste et le méchant, entre qui sert Dieu et qui ne le sert pas2.
Ce dernier verset suggère l’espérance de voir les choses se clarifier. Que s’était-il passé entre ?… Ce qui est écrit juste avant : Alors ceux qui craignent l’Éternel se parlèrent l’un à l’autre ; l’Éternel fut attentif et il écouta ; un livre de souvenir fut écrit devant lui pour ceux qui craignent l’Éternel et honorent son nom. Ils seront à moi, dit l’Éternel des armées, ils m’appartiendront au jour que je prépare ; j’aurai compassion d’eux, comme un homme a compassion de son fils qui le sert.2 Ces versets sont parmi les dix derniers de l’Ancien Testament., annonçant déjà le Nouveau Testament et son héros, Jésus-Christ, le soleil de la justice3.
La crainte de l’Éternel est le commencement de la sagesse ; tous ceux qui l’observent ont une raison saine4. En ces périodes troubles et confuses que nous vivons, n’est-il pas grand temps d’imiter ces anciens qui craignirent l’Éternel et agirent selon ?
Michel Renneteau
1 Ésaïe 5.20 2 lecture proposée 3 verset du jour 4 Psaume 111.10
Lecture proposée : Livre du prophète Malachie, chapitre 3, versets 7 à 15.