On peut s’y fier

Cette parole est digne de confiance et est digne d’être reçue par tous : Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis, moi, le premier : 1 Timothée 1.15

On demandait à Mme Einstein, la femme de l’illustre savant, si elle comprenait quelque chose à la relativité. – Pas du tout, répondit-elle, mais je connais mon mari, et je sais qu’on peut s’y fier.

Pour ce qui me concerne, si on me demandait si je comprends quelque chose à l’éternité ou aux mystères que nous révèle la Bible, je crois que je répondrais :

– Pas du tout, mais je connais le Seigneur du ciel et de la terre, et je sais qu’on peut s’y fier.

Cependant, je n’irais pas jusqu’à prendre à mon compte ce que disait le savant Louis Pasteur, à la fin de sa vie, avec sa modestie habituelle :

– N’ayant pas eu le temps d’étudier l’existence de Dieu, j’ai préféré croire, tout simplement.

Pour ma part, à la lecture de la Bible, dans une recherche personnelle de la révélation de Dieu, j’ai découvert l’amour que Dieu m’a témoigné en Jésus-Christ. C’est le même amour qu’il veut témoigner à chaque être humain ici-bas. Et ce n’est pas sans une quête personnelle que j’en suis arrivé à croire. Ce que Dieu m’a fait connaître de lui-même à travers la vie, les enseignements, les miracles, la mort et la résurrection de Jésus-Christ, est suffisamment merveilleux pour que je sois disposé maintenant à croire les mystères qui me seront révélés au ciel. Avez-vous la même certitude ?

Lucien Clerc

Lecture proposée : 1^ère lettre à Timothée, chapitre 4, versets 1 à 10.