Toutes ses journées ne sont que tourment, et ses occupations ne lui apportent que des souffrances. Même la nuit, il ne trouve pas de repos : Ecclésiaste 2.23
Toujours pressé, courant à son travail, se précipitant à ses loisirs, l’œil rivé sur la montre, les pensées absorbées par le coût de la vie, l’homme occidental ne peut plus ralentir le rythme trépidant de ses journées… Sait-il encore se reposer ? Ou au moins se relever quelques instants et faire une vraie pause de temps en temps ? Reste-t-il en mesure de réfléchir vraiment et de méditer sur sa condition matérielle, morale et spirituelle ?
Parfois les circonstances de la vie et les épreuves s’interposent et arrêtent la course frénétique. Déconvenues, problèmes de santé, échecs cuisants,…
Quelle grâce si ces contretemps conduisent vers Christ, le divin médecin, qui sait restaurer parfaitement les vies ! Cette rencontre avec Jésus-Christ amène alors, non seulement le salut, le pardon, la joie, la vie nouvelle, mais elle établit aussi bien des repères jusque-là perdus ou inconnus.
Untel va se réconcilier avec ses proches. Tel autre va retrouver l’appréciation des grâces de la vie, et le rythme équilibré des journées et des nuits qu’il avait complètement délaissé. Merveilleux changement chez celui qui trouve désormais un but à la vie et qui n’est plus errant ni instable !
Avez-vous réfléchi à votre condition présente ? Prenez-en le temps. Souvenez-vous de votre Créateur ! Et retrouvez les bons repères dès maintenant !
Bernard Fourmont
Lecture proposée : 1ère lettre de Pierre, chapitre 1, versets 3 à 13.