Certes, mais…

Il est terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant : Hébreux 10.31

On a mille fois raison de ne plus parler de diablotins armés de fourches chargés de tourmenter éternellement les damnés. Mais combien moins de taire la réalité du jugement que devront affronter ennemis de Dieu et indifférents. Se taire s’apparente à la non assistance à personne en danger. Danger d’autant plus redoutable qu’il s’agit de perdition définitive.

Bien sûr, nul médecin ne trouve aisé de dire à un patient : ” Vous êtes atteint d’une maladie mortelle. ” Mais s’il peut, honnêtement, ajouter : ” J’ai cependant ce qu’il faut pour vous guérir. ” !…

Jésus et les apôtres ont fréquemment appelé l’attention sur le fait que nous devrons tous, devant Dieu, rendre compte de nos paroles et de nos actes. Message difficile, d’ailleurs passé aux oubliettes. Honte à qui oublierait de déculpabiliser !

Mais si Jésus et les siens n’ont pas hésité à l’affirmer de diverses manières, c’est qu’ils pouvaient, en même temps, annoncer le remède. Car il existe ! Et ne pas le proposer à cette humanité atteinte de maladie mortelle serait pire que de lui cacher son état.

Ne jetons pas le voile sur la gravité du mal qui a atteint les humains ni sur ses terribles conséquences éternelles. Le remède est à la portée de tous ceux qui le reconnaissent et appellent Dieu à l’aide.

Pas aisé d’annoncer la condamnation ? Certes, mais elle s’accompagne de l’offre de la grâce en Jésus-Christ !

Richard Doulière

Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 20, versets 11 à 15.

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