Il sera le juge des nations, l’arbitre d’un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, et de leurs lances des serpes : une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, et l’on n’apprendra plus la guerre. Ésaïe 2.4
Dans les calendriers des peuples, des jours sont mis à part pour fêter la victoire. Victoire pour les uns, défaite pour les autres… De toute manière, triste réalité de la guerre qui a été constamment présente au travers des siècles et qui, plus que jamais, s’installe sur la terre aujourd’hui. Des peuples sous-développés, mourant de faim et pourtant super équipés avec des armements ultra modernes fournis par les puissants. Nous sommes sans cesse bouleversés par les images de ces pays dévastés, de ces hommes, de ces femmes, de ces enfants massacrés, déportés, brisés de toute manière.
Tous les efforts des hommes restent vains. Malgré les traités de paix, les conférences pour la paix, les rencontres au sommet, il n’y a pas de paix.
C’est pour cela que nous prêchons Jésus-Christ et son message d’amour, de réconciliation avec Dieu et avec notre prochain. Jésus-Christ va revenir et il établira la justice et la paix sur la terre. Il sera l’arbitre de toutes les nations. Alors s’accomplira cette magnifique affirmation : On n’apprendra plus la guerre.
Ce sera la plus grande des victoires. Victoire sur le mal, victoire sur la mort.
Voilà pourquoi les chrétiens prient la prière que leur Maître, le Roi des rois leur a enseignée : « Que ton règne vienne. »
Francis Bailet
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Lecture proposée : Psaume 2.