Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla. Jean 4.50
Notre Dieu et Père, dans sa grâce, exauce nos prières, parfois de façon merveilleuse, mais il ne veut pas que nous nous attachions au miraculeux. C’est probablement pour cette raison que Jésus a repris avec douceur l’officier royal qui l’avait supplié de venir guérir son fils1. Devant son insistance, toutefois, Jésus lui dit : « Va, ton fils vit ! » Maintenant la foi du père ne reposait plus que sur les paroles de Jésus. Il obéit au commandement du Christ et s’en alla.
Pendant le trajet retour, ces paroles du Maître « Ton fils vit » étaient vivantes dans son cœur. De retour à la maison, l’officier apprit par ses serviteurs que son fils avait été guéri la veille, à la septième heure, à l’instant même où Jésus avait dit : « Ton fils vit »…
Parfois nous sommes émerveillés par les œuvres de Dieu en réponse à nos prières. Cependant nous devons veiller à ne pas être préoccupés par le miraculeux – c’est vrai : à Dieu tout est possible – au point d’oublier celui qui l’accomplit. Il nous faut rester centré sur le Christ en toutes circonstances. Tôt ou tard nous serons appelés à expérimenter son amour, sa puissance et sa grâce dans la maladie, le chagrin, les contrariétés, les déceptions, les épreuves. Alors nous marcherons en vainqueurs par la foi et non par la vue.
Croire, c’est nous attendre avec assurance à ce que nos yeux ne peuvent voir.
Dominique Acien
1 voir la lecture proposée
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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 4, versets 46 à 54.
Croire sans voir
Va, lui dit Jésus, ton fils vit. Et cet homme crut à la parole que Jésus lui avait dite, et il s’en alla. Jean 4.50
Notre Dieu et Père, dans sa grâce, exauce nos prières, parfois de façon merveilleuse, mais il ne veut pas que nous nous attachions au miraculeux. C’est probablement pour cette raison que Jésus a repris avec douceur l’officier royal qui l’avait supplié de venir guérir son fils1. Devant son insistance, toutefois, Jésus lui dit : « Va, ton fils vit ! » Maintenant la foi du père ne reposait plus que sur les paroles de Jésus. Il obéit au commandement du Christ et s’en alla.
Pendant le trajet retour, ces paroles du Maître « Ton fils vit » étaient vivantes dans son cœur. De retour à la maison, l’officier apprit par ses serviteurs que son fils avait été guéri la veille, à la septième heure, à l’instant même où Jésus avait dit : « Ton fils vit »…
Parfois nous sommes émerveillés par les œuvres de Dieu en réponse à nos prières. Cependant nous devons veiller à ne pas être préoccupés par le miraculeux – c’est vrai : à Dieu tout est possible – au point d’oublier celui qui l’accomplit. Il nous faut rester centré sur le Christ en toutes circonstances. Tôt ou tard nous serons appelés à expérimenter son amour, sa puissance et sa grâce dans la maladie, le chagrin, les contrariétés, les déceptions, les épreuves. Alors nous marcherons en vainqueurs par la foi et non par la vue.
Croire, c’est nous attendre avec assurance à ce que nos yeux ne peuvent voir.
Dominique Acien
1 voir la lecture proposée
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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 4, versets 46 à 54.
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