Des coquillages autrefois vivants

Voici la grande et vaste mer : là se meuvent sans nombre des animaux petits et grands. Psaume 104.25

La station balnéaire de Seignosse-le-Pénon, dans les Landes, fait face à l’Océan. À marée basse, je ramasse avec mon épouse une collection de coquillages déposés sur la plage par la houle. Il y en a de toutes les tailles, de toutes les couleurs. Pendant que nous nous livrons à cette activité, l’Esprit du Seigneur me parle. Ces coquilles, aujourd’hui vides, étaient autrefois habitées par des êtres vivants, animés eux aussi par le souffle de Dieu au même titre que nous.

Nous sommes comme eux dépendants du souffle de Dieu qui nous est accordé pour un temps limité. Au moment voulu par Dieu ce souffle nous sera retiré. Nous ressemblerons alors à ces coquilles vides que nous ramassons sur la plage.

Mais, enseignant ses disciples, Jésus leur dit : « C’est l’esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. »1

Ce message est demeuré le même de nos jours : quiconque place sa confiance en Jésus et l’accepte comme son Sauveur a la vie éternelle. Aucun autre nom que celui de Jésus ne nous a été donné pour notre salut. Chacun peut s’approprier ces paroles pour l’éternité dans le Royaume de Dieu et dire avec le psalmiste :

Je chanterai l’Éternel tant que je vivrai,

Je célèbrerai mon Dieu tant que j’existerai. 2

Francis Praline

1 Jean 6.63 2 Psaume 104.33

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Lecture proposée : Psaume 104, versets 25 à 35.

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