Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Romains 10.9
Qui n’a jamais entendu parler du théorème de Pythagore, une fois dans sa vie, excepté ceux qui n’ont pas encore mis les pieds au collège ? « Si un triangle est rectangle, alors le carré de son hypoténuse est égal à la somme des carrés de ses deux autres côtés. » Ainsi, si la première proposition est vérifiée, alors la seconde l’est aussi. C’est la logique même des mathématiques.
Or, si l’Évangile n’est pas une branche des mathématiques – heureusement – il ne « fonctionne » pas avec moins de logique.
Sommes-nous des êtres doués d’intelligence, capables d’exercer un minimum de réflexion ? Notre intelligence ne prouve-t-elle pas celle de Dieu, notre Créateur ?
Alors, nous pouvons comprendre le « théorème de l’apôtre Paul », l’Évangile de Jésus-Christ : si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, (alors) tu seras sauvé.
La première proposition (énoncée par deux si) est-elle vérifiée ? Alors, la seconde le sera aussi.
Mais quelqu’un dira : où est la démonstration de ce « théorème » ? Qu’on lise avec soin ces quelques mots de l’apôtre Paul, que l’on pourra retrouver dans la lecture du jour : C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier1.
Bruno Licciardi
1 1 Timothée 1.15
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Lecture proposée : 1ère lettre à Timothée, chapitre 1, versets 13 à 16.
Le théorème de l’apôtre Paul
Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Romains 10.9
Qui n’a jamais entendu parler du théorème de Pythagore, une fois dans sa vie, excepté ceux qui n’ont pas encore mis les pieds au collège ? « Si un triangle est rectangle, alors le carré de son hypoténuse est égal à la somme des carrés de ses deux autres côtés. » Ainsi, si la première proposition est vérifiée, alors la seconde l’est aussi. C’est la logique même des mathématiques.
Or, si l’Évangile n’est pas une branche des mathématiques – heureusement – il ne « fonctionne » pas avec moins de logique.
Sommes-nous des êtres doués d’intelligence, capables d’exercer un minimum de réflexion ? Notre intelligence ne prouve-t-elle pas celle de Dieu, notre Créateur ?
Alors, nous pouvons comprendre le « théorème de l’apôtre Paul », l’Évangile de Jésus-Christ : si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, (alors) tu seras sauvé.
La première proposition (énoncée par deux si) est-elle vérifiée ? Alors, la seconde le sera aussi.
Mais quelqu’un dira : où est la démonstration de ce « théorème » ? Qu’on lise avec soin ces quelques mots de l’apôtre Paul, que l’on pourra retrouver dans la lecture du jour : C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier1.
Bruno Licciardi
1 1 Timothée 1.15
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Lecture proposée : 1ère lettre à Timothée, chapitre 1, versets 13 à 16.
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