Tous ont péché et sont privés de la glorieuse présence de Dieu et ils sont déclarés justes par sa grâce ; c’est un don que Dieu leur fait par le moyen de la délivrance apportée par Jésus-Christ. Romains 3.23-24
Un prestataire de services venait de me remettre sa note de frais. La parcourant du regard, l’idée me vint de tester sa réaction.
– Ah ? lui dis-je étonné, j’ai cru que c’était gratuit ?
– Vous rêvez ! Il n’y a plus rien de gratuit.
– Alors là, je ne suis pas d’accord. Je connais au moins une chose gratuite.
– C’est quoi ?
– Le pardon et l’amour de Dieu. Mais paradoxalement, les hommes ont beaucoup de peine à les accepter sans se sentir obligés de les monnayer d’une manière ou d’une autre. Souvent, ils cherchent à payer cette grâce en accomplissant des œuvres méritoires, cherchant à gagner la faveur de Dieu. Ils pensent que leurs états de services ou leurs engagements pour des causes humanitaires ou chrétiennes leur donneront accès à la vie éternelle.
Même si certaines de telles pratiques sont louables et témoignent d’un vrai désir de plaire à Dieu, il n’en tient pas compte pour nous ouvrir la porte du ciel. Jésus a dit : Je suis la porte. Si quelqu’un croit en moi, il vivra. Il s’agit d’accepter par la foi le cadeau qu’Il nous propose gratuitement, car c’est Jésus-Christ qui, par sa mort à notre place, nous procure pardon, paix, salut. Un des brigands crucifiés à côté de Jésus, une femme pécheresse ont placé leur confiance en Lui, le Christ ; ils ont ainsi échappé à la perdition et reçu la vie éternelle.
Charles Rick
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Lecture proposée : Lettre ,aux Romains, chapitre 3, versets 23 à 24.