La valeur d’un sourire

Je leur souriais quand ils perdaient courage. Job 29.24

Une dame traversait une gare quand un inconnu déjà âgé l’aborda gauchement :

Pardon ! Madame, mais je voudrais tant vous remercier.

Me remercier ? Et de quoi ?

De ce que vous m’avez conduit à la source du bonheur. J’étais receveur des billets à la gare, et chaque fois que vous passiez, vous m’adressiez un bonjour amical accompagné d’un sourire. Par la pluie ou le beau temps. Vous ne pouvez vous imaginer ce que cette attention a été pour moi. Aussi je me disais : « Pourquoi cette dame sourit-elle toujours ? On ne peut pas toujours être heureux ! Pourtant, elle en a l’air ! » J’ai réalisé que ce sourire venait de l’intérieur. Or, un matin, j’ai vu dans votre main une Bible. Aussitôt, je me suis dit : « Qui sait si ce n’est pas là qu’elle puise son sourire ? » En retournant chez moi, ce soir-là, j’ai acheté une Bible ; je l’ai lue et j’ai découvert le Christ. Maintenant, moi aussi, je peux sourire.

Sans conteste, Job est l’un des hommes qui a le plus souffert sur la terre. Il a tout perdu : ses troupeaux, ses enfants, sa santé… Alors il repasse en son cœur son ancienne prospérité. Il souriait alors à ceux qui perdaient courage. Il encourageait ainsi les désespérés, apportait un trait de lumière à ceux qui vivaient dans les ténèbres. Maintenant qu’il traverse une terrible épreuve, il se souvient cependant des temps où il vivait dans la paix.

Qu’il en soit ainsi pour tout lecteur de ce feuillet. Que la lecture de la Bible transforme tout votre être, et que vous puissiez alors resplendir de la joie d’avoir Jésus pour Sauveur.

Lucien Clerc

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Lecture proposée : Psaume 112,versets 1 à 10.

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