Tous les dieux des peuples ne sont que du néant. 1 Chroniques 16.26
Alors qu’elle assiste à un culte, une femme de Mbodiène, au Sénégal, entend Dieu lui dire de se défaire de ses fétiches. Elle résiste. Peu de jours après, elle se rend dans les champs et, à sa grande surprise, elle les trouve là, tandis qu’une voix lui dit à plusieurs reprises : « On t’a dit d’enlever tes fétiches ! » Elle s’empresse alors de les détruire…
Les nombreuses dénonciations du culte des idoles dans l’Ancien Testament n’auraient-elles plus aucune signification actuelle ? Chaque siècle et chaque peuple ont leurs divinités et idoles. Quelles sont les nôtres ? Tout ce qui est plus important pour nous que Dieu est une idole : argent, bijoux, confort, maison, T.V., sport, voiture, beauté, position sociale, narcissisme, … Une personne vient de m’écrire : «
Aucune idole ne peut véritablement satisfaire le cœur humain. Et Dieu hait l’idolâtrie. Demandons-lui donc pardon pour tout ce qui, dans notre vie, provoque sa sainte jalousie.
Prions : « Seigneur Jésus, purifie-moi de mon idolâtrie. Sois toi, le trésor de ma vie et l’objet de mon affection et de mon aspiration. Je me confie en toi seul. En toi, j’ai tout pleinement et rien n’est comparable à toi. Tu es mon Dieu pour toujours. »
Théophile Hammann
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Lecture proposée : 2ème livre des Chroniques,chap. 30, verset 13 à chap. 31, verset 1.