Toutes ces choses constituaient, à mes yeux, un gain, mais à cause du Christ, je les considère désormais comme une perte.
Philippiens 3.7
Dans un atelier de son usine, un ouvrier entendait ses camarades se moquer de la religion. « Oui, dit-il, celui qui devient chrétien doit accepter de perdre ». Les autres, qui savaient qu’il était chrétien, le regardaient avec étonnement.
– Oui, par le Christ, j’ai beaucoup perdu. J’aimais l’eau-de-vie ; cet amour, je l’ai perdu. Je me promenais avec une veste trouée et un vieux chapeau éculé : je les ai aussi perdus. Lorsque je titubais dans les rues, les enfants se moquaient de moi : cela aussi je ne l’ai plus retrouvé. Ma mauvaise conscience aux heures où j’étais dégrisé, l’enfer que j’avais créé à la maison par mon ivrognerie et ma violence, tout cela je l’ai perdu depuis que j’ai remis ma vie entre les mains de Jésus-Christ.
L’apôtre Paul a dit quelque chose de semblable : À cause de Jésus-Christ mon Seigneur, j’ai accepté de perdre tout cela (ce dont il se vantait auparavant), oui, je le considère comme bon à être mis au rebut, afin de gagner le Christ.1
Si vous voulez être débarrassés de certains aspects désagréables ou pénibles de votre vie, venez à Jésus : il peut vous les faire perdre et vous libérer – et il vous donnera en échange des biens plus précieux.
Alfred Kuen
1 Philippiens 3.8
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Lecture proposée : Lettre aux Philippiens, chapitre 3, versets 4 à 14.