« Là où il y a une volonté…

(Jésus dit 🙂 Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages.
Jean 10.9

…il y a un chemin ! » Cette formule bien connue est attribuée à Lénine, De Gaulle, Churchill, Jaurès, la sagesse chinoise… Nous avons le choix ! L’alpiniste anglais Edouard Whymper, qui fut le premier vainqueur du Cervin en août 1865, en serait également l’auteur. « Le Cervin était regardé, écrit-il, comme le plus inaccessible de tous les sommets, même par les montagnards qui avaient gravi des sommets plus élevés. » Que Whymper soit le véritable auteur de la maxime ou non, cette citation convient tout à fait pour décrire son exploit.

Mais combien est-elle encore plus appropriée pour décrire l’œuvre accomplie par Jésus-Christ ! Lui qui était Dieu s’est fait homme, lui qui était Tout-Puissant s’est fait humble, lui qui était la Vie est passé par la mort, lui qui était Saint a pris nos péchés sur sa croix. Et tout cela, dans le but de nous réconcilier avec Dieu son Père. Toute sa volonté a été d’accomplir celle de son Père. Car je suis descendu pour faire, non ma volonté, mais la volonté de Celui qui m’a envoyé.1

Parce que c’était la volonté de Dieu de nous adopter comme ses enfants, il nous a envoyé son Fils. Sa volonté, comme celle de son Fils, avait toute la force de l’amour divin pour nous ouvrir un tel chemin vers sa Présence. (Jésus) nous a ouvert le chemin, un chemin nouveau et vivant à travers (…) son propre corps.2 Approchons-nous donc de Dieu !

Bernard Grebille

1 Jean 6.38 2 Hébreux 10.20

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Lecture proposée : Lettre aux Hébreux, chapitre 10, versets 1 à 22.

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