Ce qui compte… c’est d’être une nouvelle créature.
Galates 6.15
En manipulant maladroitement un flacon d’eau de Javel, j’ai complètement abîmé une belle chemise. En constatant les dégâts, j’étaiscontrarié et désolé. Comment réparer ce malheur ? La laver ne servirait à rien. Peut-être le teinturier aurait-il une solution ? Non plus, car un tissu marqué par l’eau de Javel n’accepte plus de teinture.
Cet incident m’a fait penser à l’homme, chef-d’œuvre de la Création divine. Dieu l’a conçu et créé à son image et il devait en rester le reflet. Mais un « accident » l’a marqué de façon indélébile. « L’eau de Javel » qui dégrade cet être si merveilleux s’est introduite dans sa vie par la désobéissance au projet du Créateur. Et toute l’humanité a hérité de cette « tache ». Cette rébellion contre Dieu se manifeste de nombreuses façons : égoïsme, haine, violence, vol, meurtre… la liste est sans fin.
Dieu n’a pas accepté cette situation plongeant ses créatures dans des malheurs permanents. En ce qui concerne ma chemise, il a suffi que j’en achète une nouvelle. De même, Dieu n’a pas voulu améliorer le vieil homme pourri par le péché. Il doit disparaître pour faire place à « l’homme nouveau ». Il faut une résurrection, une régénération.
Comment s’opère en nous cette régénération ? Par le rétablissement de nos relations avec Dieu : il consiste à reconnaître notre rébellion contre Lui pour obtenir son pardon et devenir une « pâte nouvelle » par l’action de la Parole de Dieu et de son Esprit.
Laissez-vous transformer !1
Charles Rick
1 Romains 12.2
_______________
Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 2, versets 1 à 6.