Et Dieu dit : Que la terre produise des êtres vivants selon leur sorte […] Et ce fut ainsi.
Genèse 1.24
En 1953, l’américain Miller réussit à synthétiser des acides aminés à partir de décharges électriques dans une atmosphère de méthane et d’ammoniac. Plus tard Ferris et Chen ont montré qu’avec une atmosphère plus réaliste d’azote, de dioxyde de carbone et de vapeur d’eau, pas une seule molécule d’aminoacide n’était créée. On sait depuis que l’oxygène de l’air et le rayonnement UV, naguère cent fois plus important que de nos jours […] auraient immédiatement détruit les aminoacides formés. Philippe Marlière, le spécialiste de l’évolution dirigée des micro-organismes et de la biologie synthétique, écrit : « L’existence de molécules qui se prêtent à la réplication est improbable, mais, même avec les bonnes molécules qui surgiraient dans des conditions proches de l’expérience de Miller, leur assemblage dans un cycle autoreproducteur stable me paraît hors de portée. Or, cela s’est produit sur cette planète, et il doit donc y avoir quelque chose de massif qui nous échappe… »
Ce « quelque chose de massif » n’a-t-il pas pour nom Dieu ? Il est le Créateur qui nous a donné la vie physique : un miracle permanent.
Bien plus, Dieu donne aussi, dès maintenant, la vie éternelle. Jésus est, pour ceux qui se confient en Lui, la résurrection et la vie.1 « Une vie sans éternité est indigne du nom de vie. Seule est vraie la vie éternelle. »2
Choisissez donc la confiance en Jésus, car « le temps est court, l’éternité est longue »3.
Théophile Hammann
1 Jean 11.25 2 Augustin (354-430) 3 Dietrich Bonhoeffer (1906-1945)
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Lecture proposée : Livre de la Genèse, chapitre 1, versets 20 à 31.