Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.
Jean 14.6
Au cours d’une balade matinale en Forêt-Noire, je suis le sentier qui traverse un plateau à plus de 1 000 m d’altitude. La vue est superbe. Je prends plusieurs photos du Feldberg enneigé éclairé par les premiers rayons du soleil. Brusquement mon chemin s’enfonce dans un bosquet de sapins. Faut-il s’y engager ? Mais c’est le seul chemin à cet endroit précis. Si je refuse de l’emprunter, je suis condamné à tourner en rond.
De même, Jésus est le seul chemin qui conduit à Dieu. Il est possible que nous ayons vécu des expériences décevantes dans le passé. Certains chemins qui paraissaient agréables à marcher au début se sont avérés être des culs-de-sac ; nous avons parfois dû faire un demi-tour pénible puis retourner au point de départ.
Le chemin qui mène à la vie passe par la croix de Golgotha et la résurrection du matin de Pâques. Ce chemin conduit à la vie éternelle que Dieu procure à ceux qui lui font confiance. Par contre, refuser de l’emprunter revient à “tourner en rond”, à rester séparé de Dieu pour l’éternité dans un lieu de souffrances indescriptibles.
Suivrez-vous le bon chemin ?
Francis Praline
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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 14, versets 1 à 11.