Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes.
1 Corinthiens 1.27
Au 19ème siècle, il était d’usage dans certains pays, comme l’Angleterre, que n’importe quelle personne puisse s’adresser publiquement, dans un parc ou dans la rue, aux passants réunis.
Ainsi un jour, quelqu’un affirma-t-il de façon blasphématoire que Dieu n’existait pas. Tombant sa veste, prenant une attitude de lutteur, il cria :
– S’il y a un Dieu, qu’il vienne se battre avec moi !
Le défi était de taille.
À peine eut-il achevé sa provocation, qu’un minuscule moustique s’acharna sur lui. L’homme eut grand peine à s’en défaire. Mais la bestiole avait déjà réussi à le piquer à l’œil ; celui-ci s’infecta rapidement, à tel point que, peu de jours après, l’homme succomba.
L’apôtre Paul a écrit aux chrétiens de Galates : Ne vous trompez pas, on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi.1 La fronde et de petits cailloux ont eu raison du géant Goliath qui avait insulté Dieu. Mais il peut tout aussi bien user de moyens impressionnants, pour répondre à qui se moque de lui. Le pharaon osa lancer à Moïse et Aaron : Qui est l’Éternel pour que j’obéisse à sa voix ?… Je ne connais point l’Eternel.2 Mais l’Éternel s’est fait connaître à lui en engloutissant son armée dans la mer.
Aujourd’hui encore, Dieu parle d’une façon forte ou faible. À nous de les entendre !
Charles Rick
1 Galates 6.7 2 Exode 5.2
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Lecture proposée : 1er livre de Samuel, chapitre 14, versets 6 à 15.