« J’assume ce que je suis »

Je ne fais pas le bien que je veux, mais je pratique le mal que je ne veux pas.
Romains 7.19

Telle est la remarque d’une grande comédienne dans son témoignage rapporté en 2010. On constate son honnêteté quand elle ajoute : « Tout le monde ne peut pas être une petite minette. »
Pour être soldat dans certains régiments en Angleterre, les « six feet » sont requis. Si la taille d’un jeune aspirant à y entrer ne répond pas à l’exigence, il doit s’incliner. Il assume sa taille et cherche un autre régiment.
Le malade atteint d’une maladie grave incurable est bien obligé d’assumer son mauvais état de santé.
Dans un autre domaine, la Bible demande à l’homme d’assumer son état de pécheur, de reconnaître qu’il n’a pas la hauteur morale que son Créateur exige. Il est “malade” et le “salaire” de sa maladie est la mort physique et spirituelle. Après sa mort, il aura à se présenter devant Dieu pour être jugé. On n’aime pas faire de telles constatations, mais, là aussi, on doit assumer ce qu’on est.
La bonne nouvelle (l’Évangile) est que le pécheur peut échapper à sa condamnation finale. Cette heureuse issue est offerte à qui accepte ce qui s’est passé à Golgotha. Jésus, le Christ, y fut crucifié il y a quelque 2 000 ans. Par sa mort, Jésus y a « réglé la dette » du pécheur repentant.

Pierre Wheeler

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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 6, versets 5 à 11.

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