Un vêtement blanc

Le vainqueur portera ainsi des vêtements blancs, je n’effacerai jamais son nom du livre de vie, je le reconnaîtrai comme mien en présence de mon Père et de ses anges.
Apocalypse 3.5

Dans la Rome antique les élections des principaux magistrats se déroulaient chaque année en juillet, précédées d’une campagne électorale de 20 à 25 jours. Les « candidats » qui se présentaient étaient appelés ainsi parce qu’ils blanchissaient leur toge avec de la craie pour être reconnaissables par tous dans la ville (« candidus » signifie « blanc » en latin). Cette blancheur ne faisait nullement allusion à leur probité !
Jésus nous parle de Dieu comme de ce roi de la parabole1 qui nous invite aux noces de son Fils. Mais pour participer au banquet il nous faut quitter nos vêtements sales pour revêtir un habit de noces propre. Nous ne pouvons nous présenter devant le Dieu Saint dans notre état de pécheur. Avec toute la craie du monde nous ne pourrions nous blanchir à ses yeux… Mais Dieu nous offre la solution : son Fils, Jésus-Christ, est mort à notre place sur la croix et son sang purifie celui qui croit en Lui. Purifiés par le sang de Jésus, nous sommes revêtus de sa justice comme d’un vêtement d’un blanc éclatant. Après cela, je vis une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer. C’étaient des gens de toute nation, de toute tribu, de tout peuple, de toute langue. Ils se tenaient debout devant le trône et devant l’Agneau, vêtus de tuniques blanches2.
Et vous, avez-vous cette assurance de pouvoir vous présenter devant Lui, vêtu de blanc ?

Bernard Grebille

1 Voir la lecture proposée           2 Apocalypse 7.9

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Lecture proposée : Évangile selon Matthieu, chapitre 22, versets 1 à 14.

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