Un acte de piraterie

Le voleur ne vient que pour dérober.
Jean 10.10

En janvier 1961, le paquebot portugais de luxe « Santa Maria » fut appréhendé au large des côtes somaliennes par 23 conspirateurs. Les 558 passagers, ainsi que les 350 hommes d’équipage durent se plier aux ordres du capitaine Galvao, le conspirateur-chef. Le commandant, aux ordres des rebelles, dut prendre la route du Brésil sans que les passagers s’en doutent. Des navires de guerre américains et anglais finirent par le repérer. Après une longue et dure négociation, les pirates, ayant obtenu l’assurance de trouver asile au Brésil et constatant la panne de carburant, finirent par se rendre. L’amiral américain Smith, monté à bord du paquebot, en assura le commandement.
Les pirates ne sont pas seulement actifs en mer. Adam et Ève furent les premières victimes d’un acte de piraterie dont l’humanité actuelle paye encore les conséquences. Ce premier couple vivait en toute harmonie dans le jardin d’Éden. Satan, par ruse, mensonge et séduction, réussit à séduire Ève, puis Adam. La désobéissance du premier couple a rompu la communion avec le Créateur. Le mal, par le péché, a pris possession de l’humanité. Mais heureusement, un autre “amiral”, au terme d’un acte unique, a permis de soustraire les hommes aux desseins funestes de Satan. Ce “pirate” a été vaincu. Les hommes qui reconnaissent Jésus comme leur Sauveur et Maître sont désormais délivrés de son pouvoir.

Charles Rick

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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 10, versets 7 à 15.

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