Sur le moment, une correction ne semble pas être un sujet de joie, mais plutôt une cause de tristesse. Mais par la suite… elle produit un fruit paisible de justice.
Hébreux 12.11
Au cours d’un naufrage en pleine mer, un seul survivant échoua sur une île déserte. Il s’ingénia à construire une hutte ; il y abrita tout ce qu’il avait pu sauver. Comme il était chrétien, il suppliait Dieu quotidiennement de le sauver. Il scrutait constamment l’horizon pour signaler sa présence aux navires de passage.
Un jour, au retour de la chasse, il fut saisi d’horreur : sa hutte était en flammes avec tout ce qu’il possédait. Pouvez-vous réaliser son désespoir ?
Or, le lendemain, surprise ! Un navire s’approchait de l’île. Arrivé à portée de voix, le capitaine, s’adressant au naufragé, lui dit : « Hier, nous avons aperçu le feu de votre signal. »
Imaginez la joie du pauvre naufragé ! Le désastre qu’il venait de vivre était en réalité une bénédiction pour lui. Ce que nous pouvons percevoir sur le moment comme un malheur peut cacher la main de Dieu transformant la douleur en grande joie. Nous nous glorifions même dans nos afflictions, sachant que la tribulation produit la persévérance, la fidélité éprouvée et l’espérance.1
Charles Rick, d’après « Heureuse nouvelle »
1 d’après Romains 5.3-4
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Lecture proposée : 1ère lettre de Pierre, chapitre 1, versets 6 à 7.