Ah, si je pouvais croire !

Ainsi Jésus délivre tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude.
Hébreux 2.15

« Qu’ils sont heureux ceux qui croient. Pour moi, c’est trop tard maintenant ! » me disait un ancien collègue de travail âgé et malade, perturbé à la pensée qu’il allait mourir bientôt. Cette rencontre dans la rue m’a particulièrement touché. J’ai eu alors une longue conversation avec lui.
Oui, nous devrons tous mourir, mais tous ne mourons pas de la même manière. Certains redoutent la mort, d’autres meurent tranquilles, d’autres enfin meurent heureux et en paix.
La mort mérite que l’on y pense sérieusement. C’est la séparation d’avec le corps ; mais il y a une seconde mort, c’est la séparation d’avec Dieu. Nous devrons passer par la première, mais non pas nécessairement par la seconde.
Si nous avons fait la paix avec Dieu, la mort sera comme le fait d’ouvrir une porte de prison procurant la liberté. Elle ne nous séparera pas de Dieu : elle nous conduira en Sa présence et nous jouirons éternellement de Son amour.
Dieu a donné Jésus, son Fils pour que ceux qui croient en lui ne périssent pas, mais qu’ils aient la vie éternelle. Dieu veut vous délivrer de la crainte de la mort et de son pouvoir, et vous donner la victoire par Jésus-Christ.
Ne voulez-vous pas marcher avec Dieu et recevoir Jésus ?

Albert Nouguier

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Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 21, versets 1 à 7.

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