Il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par Lui (le Christ).
Hébreux 7.25
Une fable rapporte l’histoire de plusieurs animaux qui s’efforcent de franchir un mur :
Le serpent essaie de se couler sous le mur, mais ne trouve aucun passage. Le singe escalade le mur en un clin d’œil ; il se voit déjà de l’autre côté. Mais une pierre à laquelle il s’est agrippé, se détache et entraîne le petit malin. Apparemment rien ne pourra empêcher le rhinocéros d’y parvenir. Tel un bulldozer, le monstre se rue contre l’obstacle, mais il ne réussit pas à le briser.
Soudain les animaux déçus découvrent un peu plus loin une grande brèche dans le mur. Le passage était ouvert !
Cette fable illustre bien les efforts des êtres humains pour passer du monde des ténèbres à celui de la Lumière. L’homme veut se débrouiller seul, il pense y arriver et pouvoir s’attribuer le mérite de son salut. Dieu est mis de côté.
Les animaux de la fable ont découvert que leurs efforts étaient bien inutiles et qu’un passage existait. Pour nous aussi, la brèche est faite : le Christ, par sa mort à notre place, a ouvert l’accès au pays de la Vie.
Le visa d’entrée nous est accordé en réponse à notre foi en lui et à l’abandon de nos efforts et de nos prétentions.
Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie.1
Charles Rick
1 1 Jean 5.12
__________________
Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 2, versets 14 à 17.