Le doyen de l’humanité

Tous les jours de Metuschélah furent de neuf cent soixante-neuf ans ; puis il mourut.
Genèse 5.27

Oui, vous avez bien lu, Metuschélah, plus connu sous le nom de Mathusalem, est bien mort à 969 ans. Un bel âge assurément !
Ce qui me frappe, c’est qu’aujourd’hui tant de personnes atteignent 80 ans, 90 ans, voire 100 ans et plus. Oui, aujourd’hui, les centenaires ne sont plus une espèce rare !
Devenir un jour centenaire ou pas, même doyen de l’humanité, là n’est pas l’essentiel. Une certitude s’impose toujours : nous ne sommes pas éternels ici-bas. La mort peut frapper à tout âge.
Mais nous ne croyons pas qu’avec la mort tout est fini, au contraire ! Tous ressusciteront au jour du jugement. L’un sera condamné à être pour toujours loin de Dieu. L’autre, celui qui a placé sa foi en Jésus-Christ, qui a compté sur lui pour obtenir le pardon de ses péchés, vivra une vie abondante auprès de Dieu, la vie éternelle qui débute déjà ici-bas dès le jour de sa conversion.
Finalement, ma vie sur terre, même si elle devait atteindre les 969 ans de Mathusalem, n’est qu’un instant, comparée à l’éternité. Mais ce que je fais durant cet instant a des conséquences éternelles.
Imprimons dans notre mémoire et dans notre cœur ces deux paroles du Christ : « Celui qui croit en moi ne mourra jamais » et « Je vis et vous vivrez aussi » !

Gérard Dagon

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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 14, versets 15 à 19.

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