Jésus est la pierre rejetée par vous qui bâtissez […] Il n’y a de salut en aucun autre.
Actes des Apôtres 4.11-12
Un célèbre diplomate, arrivé à la fin de sa vie, fit venir un savant de sa connaissance, un solide croyant, pour s’entretenir avec lui de sujets religieux, mais surtout pas de Jésus-Christ, précisa-t-il.
– Justement, j’allais vous en parler. Puis-je au moins vous parler de Dieu ?
– Bien sûr, j’ai toujours vénéré l’Être Suprême.
Le visiteur se mit à lui parler longuement de l’amour de Dieu pour les hommes, ce que le vieillard apprécia. Il fut prié de revenir. Alors il parla de Sa sagesse, de Sa toute-puissance et de Sa toute science. Lorsque le visiteur aborda l’inflexible justice de Dieu, le vieillard se mit à trembler.
– Mais alors, si le Tout-puissant est réellement aussi saint et juste, je suis perdu.
Pour toute réponse, le savant se retira. Mais au bout de deux jours, le diplomate le fit chercher.
– Pour l’amour du ciel, dites-moi quelque chose qui me soulage !
– Je ne peux rien retrancher à mes paroles. Mais comme vous m’avez défendu de vous parler de Jésus-Christ, je suis obligé de vous laisser dans cet état jusqu’à ce que la mort fixe votre destinée. Mais sachez qu’il y a de l’espoir en Jésus-Christ !
– Eh bien, parlez-m’en, dites-moi tout ce que vous voulez, pourvu que je sorte de cet enfer.
En toute liberté le savant lui parla de la bonne nouvelle du salut gratuit, car Jésus a donné sa vie pour le pardon de nos péchés. Le mourant buvait avidement ces paroles d’espérance et de paix.
Dire qu’il ne voulait rien entendre de Jésus !
Charles Rick
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Lecture proposée : Actes des Apôtres, chapitre 4, versets 8 à 20.