[…] si toutefois vous avez goûté que le Seigneur est bon.
1 Pierre 2.3
Vous avez certainement entendu de nombreuses fois des enfants, et peut-être des adultes, dire qu’ils ne voulaient pas manger tel ou tel aliment parce qu’ils ne les aimaient pas. C’est exaspérant, n’est-ce pas, d’autant plus que bien souvent ils ne les ont même pas encore goûtés. Ils ont des préjugés irrationnels sur le goût simplement parce que l’aspect ou l’odeur ne leur convient pas.
Je ne sais pas ce que vous faites en ces cas-là, mais pour les enfants et petits-enfants, chez nous on les obligeait au moins à goûter. De toute façon, il n’était pas question de leur faire un repas à la carte !
Combien de fois n’ai-je pas vu la même attitude vis-à-vis de Dieu ! Certains ont tellement de préjugés injustifiés, irrationnels à son égard, complètement à côté de qui Il est. Quelquefois, il en est qui portent un jugement implacable sur Dieu alors qu’ils n’ont même pas goûté combien il est bon !
Certes, contrairement aux enfants vis-à-vis de la nourriture, on ne “force” personne à goûter son amour. Mais je puis témoigner des multiples attentions que Jésus a aujourd’hui à mon encontre.
Avant de dire non à Dieu, laissez-lui l’occasion de vous montrer qu’il vous aime et que votre vie compte pour lui. Je vous l’assure, il est bon de vivre avec lui, et il y a de la joie à le suivre. Ce n’est ni une contrainte ni sujet à frustration.
Bernard Delépine
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Lecture proposée : Psaume 31, versets 19 à 24.