Car je n’ai point honte de l’Évangile : c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec.
Romains 1.16
Il n’y a guère d’autre mot dans notre langue qui soit aussi peu compris que le mot « Évangile ». Nombreux sont ceux qui s’en sont réclamés au fil du temps et qui, par leur comportement, l’ont desservi lui faisant perdre toute sa valeur et sa signification profonde.
Le sens littéral du mot est « bonne nouvelle ». En effet, jamais message plus excellent que l’Évangile de Jésus-Christ n’a retenti aux oreilles des hommes. Lorsque l’ange du Seigneur apparut pour annoncer la naissance de Jésus, il dit aux bergers dans les champs de Bethléem : Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle, qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie : c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.
Ces bergers crurent ce que l’ange leur annonçait, et leur cœur fut rempli de joie.
Oui, la nouvelle que l’Évangile proclame est des plus glorieuses. Nos fautes et nos péchés nous mènent à la mort, l’Évangile apporte la vie. Nous sommes par nature ennemis de Dieu, l’Évangile apporte la réconciliation. Le monde est dans les ténèbres, l’Évangile apporte la lumière.
Jésus est le Soleil de justice, la lumière du monde.
Albert Nouguier
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 1, versets 1 à 7.