Lavez-vous, purifiez-vous, ôtez de ma vue vos agissements mauvais, cessez de faire le mal !
Ésaïe 1.16
C’est sur ce slogan que le candidat François Hollande est devenu président de la République en mai 2012. Ils sont nombreux les hommes qui, ici-bas, ont promis le changement. Pour qu’un changement radical s’opère, il ne suffit pas de placer un nouvel homme à la tête d’un pays. Un dirigeant peut changer les choses en surface. Il peut orienter un pays tout entier vers de nouvelles voies, bonnes ou mauvaises. Seul Dieu a le pouvoir de changer les esprits et les cœurs.
Pour que le changement se produise maintenant, il faut que maintenant chacun change. Chacun doit prendre conscience que sa vie va dans une mauvaise direction, qu’elle est construite sur de mauvaises bases. Il lui faut comprendre que le problème de sa vie ne se situe pas d’abord en dehors de lui, mais en lui. Changez de mentalité, lançait Jean-Baptiste, précurseur de Jésus. Il invitait ensuite chacun à accueillir Celui qui seul pouvait retourner les vies pour qu’elles s’alignent sur Dieu : Jésus-Christ.
Ce changement promis, je l’ai vécu il y a plusieurs décennies. Il a été immédiat et effectif. Pour le vivre, j’ai dû admettre que je ne pouvais changer ni les autres, ni moi-même. J’ai du faire appel au Réparateur céleste, le Fils de Dieu venu dans l’humanité pour rétablir ce qui a été cassé entre Dieu et nous. Avec Lui, j’adopte la formule : « Oui, le changement, c’est bien maintenant ! »
Gilles Georgel
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Lecture proposée : 2ème lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 5, versets 17 à 19.