J’ai le cœur paisible comme un enfant sevré qui est auprès de sa mère.
Psaume 131.2
Déjà au premier siècle, l’apôtre Paul soulignait à plusieurs reprises le contraste qui surgit dans la vie de celui qui croit en Jésus, le Sauveur : il y a pour lui un « autrefois » et un « maintenant ».
Aucun progrès matériel, économique, technologique ou culturel n’apporte par lui-même la paix, la joie ou l’assurance pour l’éternité. Le cœur humain assoiffé a besoin d’une relation spirituelle avec le Créateur. Aujourd’hui encore, les vœux de bonne santé, de longévité et de prospérité restent partiels et sans force face à l’aspiration des âmes et aux besoins des consciences. Confronté aux crises multiples – financière, économique, sociale, éthique –, le cœur de nos contemporains cherche un but et un appui, espérant un sursaut.
Deux réactions sont possibles : s’interroger sur Dieu et sur les causes de ces malaises ou bien s’enfoncer dans l’incrédulité, la tristesse et le désespoir.
De tout temps, les croyants ont connu les afflictions et les incertitudes terrestres. Ils les ont néanmoins traversées dans l’espérance et la paix, si ce n’est dans la joie. Ils ont trouvé dans le Dieu vivant et vrai leur appui ! Pourquoi ? Parce qu’à Golgotha, le lieu où il mourut, le Christ a triomphé de la mort et de toutes les adversités.
Que les églises du 21ème siècle sachent vivre cette espérance dans la foi en ce Sauveur merveilleux, au milieu des nations et de la nuit du monde incrédule ! Que beaucoup d’hommes de bonne volonté puissent venir à Sa lumière pour vivre dans la paix dès aujourd’hui !
Bernard Fourmont
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 8, versets 31 à 38.