Le précieux trésor d’un homme, c’est l’activité.
Proverbes 12.27
Mark Twain, écrivain et humoriste américain, aimait dire : « J’adore le travail, je lui trouve quelque chose de fascinant. Au point que je peux, pendant des heures, regarder les autres travailler. » Alors que pensait-il de la fête du Travail ?
Le travail n’est pas le résultat d’une malédiction. Dieu l’a institué avant même qu’Adam et Ève aient succombé au tentateur. Et, dans sa sagesse, il a établi des lois sociales bienfaisantes pour ceux qui les appliquent, fixant : la durée du travail et les jours de repos1, les relations entre patrons et employés2, la juste rémunération due aux ouvriers3…
Aujourd’hui, ces lois sont bien mises à mal ! Nous ne pouvons pas prendre notre parti du chômage envahissant, des situations douloureuses et injustes qui en résultent, pas plus d’ailleurs que de l’oisiveté.
Il est dans le plan de Dieu que chacun puisse travailler pour vivre du fruit de son labeur, sans en devenir l’esclave. La volonté de Dieu est également que notre travail non seulement pourvoie à nos besoins, mais qu’il nous permette aussi d’ouvrir nos cœurs – et notre porte-monnaie – avec compassion aux plus démunis.
Pour que la fête soit ! Partagée et bénie !
Albert Lentz
1 Exode 20.8-11 2 Exode 23.12 ; 24.14-15 3 Colossiens 4.1 ; Jacques 5.4
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Lecture proposée : 2ème lettre aux Thessaloniciens, chapitre 3, versets 6 à 13.