Je ne tiendrai pas le coupable pour innocent dit le Seigneur.
Exode 34.7
Celui qui pèche, celui-là mourra.
Ézéchiel 18.4
Aujourd’hui, la notion de sainteté est perdue. Le mal se développe de plus en plus. On légitime tout, on excuse tout. Tout est permis !
Les paroles que nous proposons à votre méditation sont solennelles et graves. Notre première réaction est de les rejeter en les considérant comme trop sévères. Il faut pourtant les accepter, reconnaître notre péché et lire aussi la suite des déclarations de Dieu. Il ne veut pas que le méchant meure, mais qu’il change de conduite et qu’il vive.
Les paroles de Dieu réveillent notre conscience endormie, morte peut-être, mais nous montrent aussi le chemin de la délivrance. Elles mettent tout en lumière dans notre vie passée et notre vie présente, mais apportent aussi le remède pour une complète guérison. Si le péché est comme un mur dressé entre Dieu et nous, l’Évangile est la dynamite qui fait sauter le mur et rend possible le contact avec Dieu, une communion paisible avec lui. Jésus-Christ est venu pour expier nos péchés et nous revêtir de sa justice. Dieu est saint. Il est aussi amour. Un amour qui l’a conduit à tout faire pour que nos péchés soient pardonnés et qu’une nouvelle vie commence.
Francis Bailet
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Lecture proposée : Livre du prophète Ézéchiel, chapitre 18, versets 20 et 23.