Jésus de Nazareth allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable.
Actes 10.38
Les contemporains de Jésus ont témoigné comment il a vécu. Faisant tout à merveille, partout où il passait, il apportait la guérison, l’espoir, le renouveau. La puissance du royaume de Dieu devenait manifeste : là où il était, les démons lâchaient leurs victimes. En Jésus-Christ, Dieu visitait la terre, apportant sa puissance d’amour et de vie.
Ses pieds le conduisaient autant dans les lieux de renom, le temple, les synagogues, que dans des endroits moins recommandables où se trouvaient les gens de mauvaise vie, les gens rejetés.
Ses mains touchaient les plus vils, les plus repoussants. Ne craignant personne ni aucun ragot, il s’approchait de tous, de ceux qui étaient en vue… et de ceux dont on détournait la vue : enfants, pauvres, handicapés, possédés, prostituées… Ses mains les bénissaient, les guérissaient, leur donnaient un nouveau départ.
Paradoxalement, alors qu’aucun homme n’a jamais fait autant de bien, ses contemporains ne l’ont pas supporté. Ces pieds et ces mains ont été arrêtés net dans leur ministère, immobilisés, cloués sur la croix. Toutefois sans pouvoir l’empêcher de réaliser le bien suprême : notre rachat.
Et aujourd’hui encore, il bénit et sauve ceux qui placent leur foi en lui.
Francis Rivère
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Lecture proposée : Psaume 115, versets 4 à 11.