La bienheureuse espérance

La mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.
Apocalypse 21.4

Les projets de Dieu pour la présente terre sont liés au règne du Christ. L’apôtre Paul a écrit : Il faut qu’il règne jusqu’à ce qu’il ait mis tous ses ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort1.
L’espérance du chrétien repose non sur les efforts des hommes, si louables soient-ils n’y a-t-il pas des millénaires qu’ils déçoivent ? , mais sur la victoire finale du Christ. Il recevra les extrémités de la terre pour possession ; les brisera avec une verge de fer, les brisera comme le vase d’un potier2. Mais surtout, finalement, il détruira la mort elle-même. Apparaîtront alors de nouveaux cieux et une nouvelle terre où régneront Dieu et son Fils bien-aimé. Là, plus de pleurs, de douleurs… ni d’impies, de lâches, d’impudiques, de menteurs…
Les termes manquèrent à Jean pour dépeindre la vision qu’il en eut3. Il parle d’un fleuve limpide comme du cristal, d’une ville qui n’a besoin ni du soleil ni de la lune pour l’éclairer, parce que la gloire de Dieu l’éclaire… de fondements ornés de pierres précieuses, de portes faites d’une seule perle… Comment, en effet, dépeindre ce qui appartient à un autre monde, indicible, ineffable ? Je ne peux l’imaginer, mais je l’attends. C’est l’espérance du vrai chrétien.
Est-ce la vôtre ?

Richard Doulière

1 1 Corinthiens 15.25-26           2 Psaume 2.8-9           3 Apocalypse 21 et 22

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Lecture proposée : Livre de l’Apocalypse, chapitre 21, versets 1 à 8.

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