C’est lorsque je suis faible que je suis réellement fort.
2 Corinthiens 12.10
Samedi soir, à 48 heures de son examen final de certificat d’enseignement musical, notre fille souffre d’un terrible mal de gorge. Le fait même de parler lui arrache une très forte douleur, alors que son examen exige de bien chanter !
Nous sommes bien désemparés. Consulter un médecin au cours d’un week-end, c’est si compliqué ! Nous nous mettons à prier Dieu, criant à Lui afin qu’Il remédie à cela. Elle envoie un texto disant qu’elle est en train d’apprendre à dépendre entièrement de Dieu, à compter sur sa puissance…
Le lendemain, notre fille demande conseil à un ami médecin. Celui-ci lui recommande un traitement à base de cortisone à prendre juste quelques heures avant l’examen. C’est le suspense. Nous prions toujours qu’elle puisse réussir cet examen pour lequel elle s’était donné tant de peine.
Et le miracle a lieu ! Lundi 17 h. La bonne nouvelle arrive : le diplôme est pratiquement dans la poche ! Quel soulagement ! Quelle reconnaissance monte vers notre Seigneur qui a permis cette réussite dans un état de grande faiblesse !
Et c’est souvent ainsi. Lorsque vous perdez toutes forces et que vous êtes sans solutions humaines devant un énorme défi, il ne vous reste plus qu’une chose. Compter totalement sur le Tout-puissant qui peut accomplir des prodiges. Toutefois, il le fera pour manifester sa grandeur. Le résultat qui dépend de lui dépasse largement nos espérances. (Peu après cette expérience, notre fille a obtenu un bon poste d’enseignement musical).
Martine Fleck
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Lecture proposée : Psaume 25, versets 1 à 7.