Si l’un de vous possède cent brebis, et que l’une d’elles vienne à se perdre, n’abandonnera-t-il pas les quatre-vingt-dix-neuf autres au pâturage pour aller à la recherche de celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il l’ait trouvée ?
Luc 15.4
Le général Garibaldi a rencontré dans les montagnes italiennes un berger qui se désolait d’avoir perdu l’un de ses agneaux. Il était triste de ne pas arriver à le retrouver. Alors Garibaldi a proposé à ses hommes de parcourir la montagne à la recherche de l’agneau égaré. Tous se mirent immédiatement au travail avec des lanternes, explorant chaque coin et recoin de la montagne. Mais leur recherche fut vaine et, l’un après l’autre, les soldats retournèrent au campement.
Le lendemain matin, contrairement à son habitude, le général était encore au lit. Que s’est-il passé ? Était-il malade ? Finalement, on se décida à le réveiller. Le général se frotta les yeux et tira, de dessous ses draps, l’agneau égaré et ordonna à ses serviteurs de l’apporter au berger. Pendant toute la nuit, Garibaldi n’avait eu de cesse de chercher jusqu’à ce qu’il trouve l’égaré.
Dieu serait-il moins zélé dans sa recherche de ceux qui sont perdus ?
Alfred Kuen
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Lecture proposée : Livre du prophète Ézéchiel, chapitre 34, versets 11 à 16.