Car, depuis la création du monde, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient dans ses œuvres quand on y réfléchit.
Romains 1.20
Dans une émission « Grandeurs nature » sur France 2, un documentaire présentait le parcours de l’azote, ce gaz inodore, incolore, chimiquement peu actif, faisant partie à 4/5 de notre atmosphère et absolument vital pour toute vie animale et végétale.
L’azote minéral du sol est absorbé par les plantes. Grâce à l’énergie solaire, l’azote se transforme en protides végétaux sous une forme organique. Absorbé par les animaux herbivores, il se transforme en protides animaux (viande, lait, etc.). Les carnivores en profitent. Par la décomposition des végétaux, des déjections et des cadavres, l’azote organique est restitué au sol. Sous l’action des bactéries, il y a de nouveau une transformation en azote ammoniacal, puis en azote nitreux, puis encore en azote nitrique et enfin en azote. Et le cycle est fermé. Ensuite, les plantes l’absorbent de nouveau.
Il est étonnant que tant de scientifiques attribuent un tel cycle au hasard. On croit facilement aujourd’hui au “dieu hasard”, très populaire. Mais comment ce dieu-là aurait-il œuvré pour inventer un tel cycle, et, du reste, en aurait-il compris la nécessité ?
Aussi, est-il plus rationnel d’abandonner ce dieu-là pour croire en un Créateur inventeur et organisateur, super intelligent, qui a conçu le cycle nécessaire à la vie et a la capacité de le faire fonctionner, aussi compliqué soit-il.
Pierre Wheeler
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Lecture proposée : Livre de Job, chapitre 38, versets 1 à 11.