Oui, nous renversons les faux raisonnements ainsi que tout ce qui se dresse prétentieusement contre la connaissance de Dieu, et nous faisons prisonnière toute pensée pour l’amener à obéir à Christ.
2 Corinthiens 10.15
Dans le courant de l’année 1944, la France fut progressivement libérée de l’occupation allemande. Pourtant, sur la rive droite de la Gironde, l’ennemi a résisté encore de longs mois avec acharnement. Ce foyer de résistance est connu sous le nom de « poche de Royan ». Elle n’a été résorbée qu’au prix de combats meurtriers pour les armées opposées.
Si, par la foi, quelqu’un devient un disciple de Jésus-Christ, la puissance de vie de Jésus pénètre toute sa personne, âme, esprit et corps. Elle le libère de l’emprise du péché qui le rend prisonnier. Mais, parfois, il subsiste en lui des foyers de résistance, des “poches de Royan” difficiles à résorber : dans tel domaine de sa vie, il voudrait faire le bien, et il fait le mal qu’il ne veut pas faire…
Même dans ces conflits intérieurs, le chrétien n’a pas à craindre ! Pour celui qui accorde une pleine confiance à Christ, sa puissance viendra à bout des “poches de Royan”. En effet, Jésus a anéanti celui qui a la puissance de la mort, c’est-à-dire le diable1.
Francis Praline
1 Hébreux 2.14
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Lecture proposée : 2ème lettre aux Corinthiens, chapitre 10, versets 3 à 6.