Le fils de l’homme viendra à l’heure où vous n’y penserez pas.
Matthieu 24.44
Quand notre pays a connu de graves inondations, les habitants des maisons des quartiers sinistrés disaient bien volontiers : « Nous pensions que c’était la fin du monde. » Cela a aussi été dit lors du tsunami : « C’était une vision apocalyptique ! »
Le terme “Apocalypse” est souvent employé dans des situations exceptionnelles qui interrogent. En fait, il signifie révélation, dévoilement. C’est ainsi qu’est appelé le dernier livre de la Bible. Ce livre prophétique dévoile les temps de la fin.
Combien de nos contemporains croient à la fin du monde ? Il y a ceux qui déclarent ouvertement ne pas y croire et ceux qui y croient tellement qu’ils se permettent d’avancer des dates. Vous avez entendu parler du calendrier maya qui la programmait pour le 21 décembre 2012. Vous souvenez-vous que certains affirmaient que seul un petit village de l’Aude échapperait à ce destin funeste ?… Si ces prévisions avaient été justes, vous ne liriez pas ce feuillet rédigé en septembre 2012.
La Bible enseigne que personne ne connaît ni le jour ni l’heure du retour de Jésus-Christ et de la fin du monde. Cette perspective n’a rien de funeste pour celles et ceux qui auront confié leur vie entre les mains de Dieu. Connaître le jour et l’heure n’est pas important. Par contre ce qui l’est, c’est d’avoir reçu le Christ dans sa vie comme son Sauveur et Seigneur, et d’être prêt à l’accueillir le jour où il aura décidé de revenir.
Jack Mouyon
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Lecture proposée : 2ème lettre de Pierre, chapitre 3, versets 10 à 15.