Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
Romains 3.23
« Les hommes naissent libres et égaux », dit la Déclaration universelle des droits de l’homme. N’y a-t-il pas une autre « universalité » touchant les êtres humains ? Nés certes libres et égaux, ils sont aussi créés tous à l’image de Dieu. En ce sens une déclaration formelle, claire et ratifiée au 18ème siècle, confirme ce qui est imprimé dans toute conscience humaine : l’homme est doué de raison, d’intelligence, possède une volonté et des émotions.
Tout serait idéal si, dès le départ, il n’y avait eu rupture du dessein initial du Créateur, par la désobéissance de nos premiers parents.
Tous sont égaux devant le Créateur qui déclare : Nul n’est sage, tous sont égarés1 ! C’est l’universalité de la séparation d’avec Dieu ! Alors point d’issue ? Si, une seule ! La venue de Jésus-Christ dans ce monde ! Dieu ne pouvait pas faire moins, face à la rupture initiale et universelle qui en découla, que de l’initier.
Le don inestimable de son Fils, parfaitement Dieu et parfaitement homme. Pour un salut offert à tous, mais à s’approprier individuellement. Qui le saisira encore… avant le grand départ pour l’au-delà ou pour le rencontrer quand il reviendra ?
Bernard Fourmont
1 Romains 3.11
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Lecture proposée : Lettre aux Romains, chapitre 6, versets 20 à 23.