Puissiez-vous comprendre quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance…
Éphésiens 3.18-19
J’aime la lumière du printemps, la chaleur de l’été, les couleurs de l’automne, la blancheur de l’hiver.
J’aime respirer la fraîcheur de l’aube, sentir les parfums de la pluie, admirer la majesté des montagnes, écouter un ruisseau, scruter le cœur d’une fleur, m’attarder sur un chemin forestier, m’asseoir face à l’océan.
J’aime l’amitié sincère, les yeux pétillants d’un enfant, la tendresse d’une mère, la solidarité des hommes.
J’aime les colorations d’une toile de Monet, l’émotion d’un concerto de Bach, la silhouette de la tour Eiffel, l’audace de la flèche de la cathédrale de Strasbourg.
Et j’aime lire la Bible qui parle de l’amour de Christ me réconciliant avec le Créateur.
Quand j’ai réfléchi à tout ce que j’aime, j’ai considéré toutes ces choses comme des grâces de Dieu. Mais, à l’exception d’une seule, mes perceptions sont altérables. Seul l’amour de Christ demeure infini et éternel. C’est pourquoi je me réjouis sans cesse que ce bonheur, habitant mon cœur par la foi, soit hors du temps et échappe à toute limitation !
J’ai comparé les biens et les beautés qui m’entourent aux dimensions de l’amour de Christ. Rien ne surpasse cet amour.
Dominique Moreau
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Lecture proposée : Lettre aux Éphésiens, chapitre 3, versets 12 à 21.