Souvenez-vous que vous étiez en ce temps-là sans Christ, sans espérance et sans Dieu dans le monde.
Éphésiens 2.12
Les annonces des actualités, les épreuves de la vie, les difficultés quotidiennes affectent le moral des Français. Qui peut mesurer le degré de malheur ou de bonheur d’un être humain ? Mais une tristesse peut être salutaire et conduire vers le bon chemin, celui des questions justes et libératrices. Quand on s’est grisé de plaisirs, quand on a mesuré la vanité du temps et poursuivi des buts inaccessibles, le chemin du retour à la maison paternelle est toujours ouvert à nous.
Reconnaître ses égarements, faire un demi-tour complet dans sa vie, et accepter l’offre de la grâce de Dieu : tel est toujours l’appel du Sauveur des hommes, Jésus-Christ. Il n’est point de détresse trop grande, de situation tellement désespérée, de questionnements trop nombreux pour lui !
Nous pouvons être dans la main de Dieu comme l’argile dans la main du potier. Celui qui est à l’origine de toute vie veut recréer l’homme descendant d’Adam déchu, car entraîné par les séductions de Satan.
Pour nous faire passer de la détresse à la joie, des ténèbres à la lumière, de la mort à la vie, Dieu a donné son Fils, Jésus-Christ. C’est, aujourd’hui encore la bonne nouvelle à saisir.
Bernard Fourmont
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Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 1, verset 9 à 13.