Relativisme amoral

L’homme sans morale est un malfaisant.
Proverbes 6.12

freedom-307791_640La crainte de Dieu n’est pas seulement le commencement de la sagesse. Elle est aussi la source de toute morale dans ce monde. C’est par une morale commune que la vie en société est possible. La morale est faite d’un ensemble de règles, dites ou non dites, qui régissent une société en vue du bien-vivre ensemble. Plus une société s’éloigne de Dieu, des préceptes de Sa Parole, plus son niveau de moralité baisse. La morale commune disparaît pour faire place à une société individualiste dans laquelle chacun cherche à satisfaire d’abord son intérêt. Il y a toujours eu, dans toute société, des êtres amoraux ou immoraux. Lorsque le niveau moral est élevé, ils sont immédiatement réprimandés. Mais, demande l’auteur du psaume 11, que peut faire le juste lorsque les fondements moraux sont renversés ?1
Nous ne cessons de nous plaindre, dans notre société, de la violence faite aux personnes. De fait, il n’y a plus de morale commune. Notre société est plus que jamais fracturée. La raison en est que tout, désormais, est relatif. Il n’y a plus d’absolu, plus de sacré… sauf la prétention de chacun de vivre comme il l’entend. Nous n’avons plus de dénominateur commun. Il nous faut revenir à Dieu qui nous a tous créés. Lui seul est capable de nous réunir dans nos différences. Jésus est le point de jonction entre nous et lui, mais aussi entre nous. Qui passe par lui se retrouve et trouve, en ceux qui croient, une vraie famille !

Gilles Georgel

1 Psaume 11.3

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Lecture proposée : Psaume 14, versets 1 à 3.

 

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