À l’eau !

Dès que les sacrificateurs qui portent l’arche de l’Éternel, le Seigneur de toute la terre, poseront la plante des pieds dans les eaux du Jourdain, les eaux du Jourdain seront coupées.
Josué 3.13

the-river-glomma-1037417_640Le peuple d’Israël, en marche vers la Terre promise, se trouve devant un obstacle infranchissable : le Jourdain. Ce fleuve n’avait pas de ponts et il n’était guéable qu’à de rares moments de l’année. Dans cette région proche de Jéricho, les flots sont si impétueux qu’encore aujourd’hui les pèlerins qui s’y baignent mettent leur vie en danger. On suppose même qu’à l’époque du récit, le fleuve devait déborder à cause de la fonte des neiges. Sans l’intervention divine qui coupa les eaux, le peuple sous la conduite de Josué n’aurait pas pu le franchir.
Ici il est important de souligner – une nouvelle fois – que la délivrance accordée par Dieu était liée à un acte d’obéissance de la part des hommes : Dès que les sacrificateurs poseront la plante des pieds dans le Jourdain… Dans certaines circonstances où il faut enfin se décider, on dit couramment : « Il faut se mouiller. »
En réponse à l’obéissance des sacrificateurs et du peuple aux instructions divines, le miracle a eu lieu : la traversée s’est faite sans péril.
Gloire à Dieu ! Il délivre ceux qui obéissent à ses commandements.

Jack Mouyon

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Lecture proposée : Psaume 46, versets 1 à 4.

 

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