Le ciel raconte la gloire de Dieu et l’étendue révèle l’œuvre de ses mains.
Psaume 19.1
Si je vois un dessin d’enfant, je devine que son auteur est un enfant. Celui d’un dessinateur amateur est plus esthétique. Celui d’un grand maître révèle son génie créatif et artistique.
Et si je vois l’univers… est-ce que j’y vois « le résultat d’une agitation fortuite d’atomes », comme le disait un de nos prix Nobel de biologie ?
Il me faut être honnête ! On ne peut attribuer au hasard un univers aussi complexe et aussi parfait. La matière n’a pas pu se créer elle-même (!) à partir de rien. Même si la matière résulte d’une énergie, d’où vient donc cette énergie ?
L’univers est un livre ouvert qui parle d’un créateur génial1. L’œuvre révèle l’ouvrier. Une œuvre géniale révèle un génial ouvrier.
Je préfère donc ce que Ludwig van Beethoven a dit au sujet de l’univers :
« Si, le soir, j’admire le ciel
Et la multitude des corps lumineux qui oscillent éternellement dans ses limites
Et que nous appelons soleils et terres,
Mon esprit s’élève au-delà de ces constellations éloignées de tant de millions de kilomètres
Vers la source originale dont jaillit toute existence
Et dont jailliront toujours de nouvelles créations. »
Oui, l’Univers est là pour que notre esprit s’élève jusqu’à Dieu. Admirons la nature, et adorons Celui qui l’a créée. Et pour mieux le connaître, lisons sa Parole, comme nous y invite le psaume du jour.
Jean-Louis Théron
1 Romains 1.20
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Lecture proposée : Psaume 19.