Le paysan et le philosophe

Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s’appuyant sur la tradition des hommes, sur les principes élémentaires du monde, et non sur Christ.
Colossiens 2.8

dialogue-1198241_640Le célèbre libre penseur et philosophe anglais, Anthony Collins, rencontra un paysan un dimanche matin. Il lui demanda où il allait.
– À l’église, Monsieur, répondit l’homme.
– Et qu’y vas-tu faire ? poursuivit le philosophe qui cherchait à le provoquer.
– Adorer Dieu, Monsieur.
Dans sa condescendance, l’intellectuel triomphant continua :
– Ton Dieu est-il grand ou petit ?
– Il est l’un et l’autre, Monsieur.
– Comment cela ? », reprit l’incrédule surpris.
– Il est si grand que les cieux des cieux ne peuvent le contenir, et pourtant il se fait si petit que je le sens là tout entier dans mon cœur, confessa le fermier avec la foi en Christ qui l’habitait.
Frappé par cette limpide conviction, Anthony Collins avoua que cette réponse d’un simple paysan lui avait fait plus d’impression que la lecture de maints ouvrages savants.
Non, il n’est pas étonnant qu’un simple croyant impressionne un philosophe, car c’est en Christ que sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance.

Dominique Moreau,
d’après un récit du Comité cantonal vaudois des Écoles de Dimanche

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Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 2, versets 1 à 10.

 

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