Tout est perdu, sauf… !

La bienveillance de l’Éternel n’est pas épuisée, et ses compassions ne sont pas à leur terme : elles se renouvellent chaque matin.
Lamentations de Jérémie 3.22

cemetery-1169701_640Une jeune femme anglaise en visite au cimetière du Père-Lachaise en juin 1871 ressentit une peine immense face à la souffrance des femmes de communards pleurant leurs maris fusillés par l’Armée républicaine.
– Tout est perdu, se lamentaient-elles.
– Tout, sauf l’amour de Dieu ! leur répondit Miss de Broën, en leur offrant un évangile.
Cette jeune femme chrétienne a su rebondir en ouvrant une fenêtre d’espoir vers le ciel à des femmes désespérées. Elle n’a pas sous-estimé leur grande épreuve. “Tout” était bien perdu à vues humaines, mais pas complètement tout à la lumière de la bonne nouvelle.
Elle pensait à la réalité de la manifestation de l’amour de Dieu, qui, en la personne de Jésus, est venu briser la loi du péché et de la mort.1
Aussi a-t-elle voulu leur en donner la preuve écrite depuis presque vingt siècles, un simple évangile. Ce petit livre présentant le message du Christ, venu guérir les cœurs brisés2.
« Et ensuite pendant une quarantaine d’années, ce sera un combat à mains nues contre toute la détresse d’un quartier, qui deviendra la Mission sociale de Belleville. »3
Êtes-vous dans la détresse ? Tout n’est pas perdu : tournez-vous vers Celui qui vous aime et qui peut vous secourir.

Reynald Kuffer

1 Romains 8.1-2           2 Luc 4.18           3 Idéa, mai 2006

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Lecture proposée : Lamentations de Jérémie, chapitre 3, versets 15 à 41.

 

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