Aïe !

Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Éternel, et comme un marteau qui brise le roc ?
Jérémie 23.29

hammer-1008976_640Dans un atelier, un ouvrier plaisantait sur l’obtention d’un congé maladie. « Tiens, tape là avec ton marteau, ça me fera des vacances ! » dit-il à son copain, en posant sa main sur l’établi. Et l’autre, avec le ton de la bravade : « À ton service l’ami ! » Vlan ! Le coup partit aussi fort que sa bêtise ! Sous les yeux ahuris des collègues, la main reçut son dû… Oui, l’histoire est vraie… Que s’était-il passé ? Un quiproquo tragicomique que nos « cascadeurs amateurs » avouèrent ensuite : l’un croyait que son ami allait taper à côté de sa main, tandis que l’autre pensait qu’il allait enlever sa main… Aïe !
Nos choix ont des conséquences auxquelles il faut réfléchir avant de passer à l’acte ! Combien de désillusions, de drames, d’échecs ont leurs sources dans « Mais je croyais que » ! À qui confions-nous nos vies, nos projets, nos espoirs, notre confiance ?
Ce fait divers me fait penser à ceux qui se moquent des paroles de Dieu, de leur propre culpabilité, de l’enfer. Et puis aussi à ceux qui ont la bravade dans la bouche avant que l’épreuve les frappe. Ils plaisantent face aux avertissements du jugement dernier… Ils se persuadent que Dieu n’existe pas, et, s’il existe, que le feu du jugement ne les atteindra pas, que le marteau les ratera.
Sauf que Dieu ne joue pas !

Dominique Moreau

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Lecture proposée : Livre du prophète Jérémie, chapitre 23, versets 16 à 29.

 

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